Autres approches naturelles de l’ostéoporose

D’autres approches naturelles de l’ostéoporose

Il n’est pas question de substituer des méthodes naturelles à une posologie prescrite par le médecin. Non, il s’agit de traitement complémentaires à prendre à côté pour aborder autrement la maladie.

La naturopathie

Comme évoqué dans le chapitre des fractures vertébrales spontanées, le tassement de vertèbres engendre des compressions de l’œsophage.
En cela, l’approche de l’ostéoporose via la naturopathie va se concentrer le régime alimentaire. Son but sera de rétablir l’équilibre acido-basique de l’organisme. En mettant en pratique le régime crétois par exemple, différent de nos habitudes occidentales trop acidifiantes.
Il sera aussi proposé au patient de consommer plus de calcium en incorporant dans sa routine alimentaire des aliments qui en contiennent naturellement. Enfin, de nombreux compléments alimentaires naturels régulent les éventuelles carences en minéraux et vitamines qui servent à favoriser la fixation du calcium sur les os.

La phytothérapie

Plus précisément en phytothérapie c’est à dire le soin par les plantes, il s’agira de consommer des recettes naturelles à base de certaines plantes qui sont naturellement riches en calcium et minéraux utiles à la consolidation des os. Accompagné par un naturopathe confirmé le patient apprendra comment consommer la bosse dose dont son squelette a besion chaque jour.

L’homéopathie

Pour les patiens qui présentent des facteurs à risques d’ostéoporose ou des antécédents familiaux, il est possible de faire un traitement homéopathie préventif pour la repousser. Si l’ostéoporose est déjà installée, l’homéopathie propose des solutions pour la rendre moins douloureuse.

Le biodécodage des maladies

Il s’agit d’une approche psychobiologique qui peut s’avérer intéressante pour voir la maladie d’un autre œil et aider le patient à mieux l’appréhender.
Ainsi, en biodécodage, on considère que l’ostéoporose découle d’un comportement auto-dévalorisant. En d’autres termes, une situation conflictuelle pourrait mener à un replis sur soi qui favoriserait les facteurs à risques d’apparition de l’ostéoporose.
Comme évoqué dans le chapitre sur les fractures spontanées du col du fémur, certains patients, principalement les personnes vivant seules, doivent être suivies après le diagnostic. Les personnes ayant un penchant pour la dévalorisation naturelle seront tentées de s’isoler encore plus si elles sont réduites physiquement.
Le biodécodage peut aider les patient sensible à l’approche psychologique de la maladie. Ainsi, aidée par un thérapeute certifié, on peut remonter jusqu’à la source du problème et une fois identifié, le solutionner.